Faites la critique précise des deux introductions et de la conclusion qui sont données: a la suite du sujet. Puis rédigez vous-même une introduction et une conclusion en conservant les passages corrects de celles que vous avez critiquées, et en composant ou rectifiant ce qui mérite de l'être. sujet<<In'y a pas de mauvais livre pour le lecteur vorace déclarait une journaliste a propos du Salon du Livre de 1983. En vous appuyant sur des exemples précis tires de votre experience, vous direz Si vous partagez ou ton cette opinion. Introduction 1 Devant le livre, les réactions possibles sont innombrables. On peut chercher longtemps, trouver enfin celui qui convient, et le goûter longuement; on peut aussi se hâter de dévorer le premier ouvrage venu pour passer plus vite au suivant. Une journaliste du Salon du Livre de 1983, parlant de ce deuxième type de lecteur, disait qu'<<il n'y a pas de mauvais livre pour le lecteur vorace>>. A-t-elle raison ? Qu'est-ce qu'un lecteur vorace? Dans quelle mèsure est-il bon d'être un lecteur vorace? Est-il vrai que tous les livres sont valables pour lui? Ne peut-on pas émettre de sérieuses réserves? Introduction 2 Le Salon du Livre est une excellente initiative. Il donne des idées de lecture et permet d'être au courant des dernières nouveautés parues. Si nous n'y allons pas nous- mêmes, les journalistes nous renseignent. En 1983, une journaliste déclarait: il n'y a pas de mauvais livre pour le lecteur vorace ». Certes, si subjectivement le lecteur vorace peut penser que tous les livres sont bons, on se demandera si cette attitude est objectivement la meilleure possible devant le livre, et s'il ne vaut pas mieux espérer d'un lecteur d'autres réactions plus constructives . Conclusion Quand, au Salon du Livre 1983, la journaliste a déclaré qu'il n'y a pas de mauvais livre pour le lecteur vorace, on a pu se demander si elle avait raison ou non. Et après réflexion on peut se dire qu'elle obéissait plutôt a des impératifs publicitaires de promotion indistincte de tous les livres. Non seulement le lecteur vorace ne pense pas toujours lui-même ainsi, mais de plus c'est le développement de la capacité critique qui fait un bon lecteur : les mauvais livres existent, et c'est lire à bon escient qui fera la valeur d'un vrai lecteur. N'est-il pas navrant d'entendre une réflexion aussi contestable à une telle occasion? ​

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