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Dans l'air, comme dans tout gaz, les molécules ne sont pas soudées les unes aux autres comme dans un solide, mais libres et en mouvement: elles occupent ainsi le maximum d'espace possible. Elles viennent donc frapper les organes olfactifs très développés du chien (30 000 fois plus sensibles que chez l'homme), qui a été dressé pour réagir à cette odeur.