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se tenaient; frottait;permettait;montaient:traversais;grimpais me semble t-il ;)
8) Deux de leurs soldats se tenaient de part et d'autre de la porte. Mon couple frottait les côtes de Badimoin. Entre le local des poubelles et les réserves de charbon, une échelle de meunier permettait d'accéder au couloir du rez-de-chaussée au bout duquel les deux soldats de Dieu montaient la garde. Je le traversai sur la pointe des pieds et grimpai les premières marches de l'escalier principal, aussitôt imité par Badimoin.

9) a)
Ce matin-là, Adamsberg se dirigea d'un pas tranquille vers un bar qu'il avait découvert deux ans plus tôt à six cents mètres de chez lui, et qui constituait à ses yeux une sorte de perfection. C'était un pub irlandais en briques, qui s'appelait Les Eaux Noires de Dublin, et où régnait un vacarme considérable. Le commissaire Adamsberg aimait la solitude, où il laissait dériver ses pensées vers le large, mais il aimait aussi les gens, les mouvements des gens, et il se nourrissait comme un moustique de leur présence autour de lui. Il estima en poussant la porte des Eaux Noires de Dublin qu'il dut être pas loin de huit heures.

b) Nous savons que l'imparfait exprime la durée indéterminée et qu'il correspond aux mots "habituellement", "souvent", "déjà", "en même temps" alors que le passé simple indique des actions bien déterminées. Il indique le sens de "après", "ensuite", "plus tard". La question se pose notamment dans la succesion des faits dans le récit. pour le passé simple,  on dit qu'il faut exprimer ou sens-entendre, avant le verbe, les mots "après" ou "ensuite".
J'ai donc utilisé l'imparfait tout le long du texte car c'est une histoire du passé que l'auteur raconte. Le premier verbe "dirigea" est à l'imparfait car cette situation se situe maintenant mais sur des faits anciens, pareil pour la dernière phrase avec les mots "estima" et "dut".

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