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Perceval se réveille tout à coup et se rend compte qu'il fait déjà jour. Il reprend conscience et repense immédiatement à la soirée de la veille. Quel étrange dîner! Ses hôtes l'avaient reçu princièrement mais aucun ne lui avait réellement adressé la parole. Il avait reçu à boire et à manger à profusion à la table d'honneur et il n'avait pas perdu une miette du spectacle. Mais surtout, il y avait eu cette jolie damoiselle qu'il avait à peine osé regarder. Elle était gracieuse et fraiche comme une rose qui vient d'éclore. Le seul bijou qu'elle portait était un diadème de perles dans sa chevelure mordorée et cette simplicité mettait toute sa beauté en valeur. Qui pouvait-elle être?
C'est à ce moment qu'il se rend compte qu'il n'entend aucun bruit, ni à l'intérieur du château, ni dans la cour. Il quitte ainsi la chambre où épuisé de sa journée de la veille, il s'était endormi en toute quiétude. Dans les couloirs, personne! Juste le bruit du vent amplifié par les meurtrières. L'atmosphère est irréelle et il se demande s'il va une fois de plus, devoir faire face à une épreuve de sa quête. Il déambule jusque dans les cuisines où un fumet odorant l'attire. Mais là encore, personne, même si une soupe est mise à bouillir et du pain frais de trouve sur la table. Il se sert rapidement à manger, inquiet de trouver les lieux désertiques. Il se décide alors à aller à l'extérieur quand bien même il se sait dans l'obligation se saluer ses hôtes avant de quitter les lieux. Dans la cour, tout donne à penser que chacun vient juste de quitter son occupation. Il aperçoit alors, au loin, un nuage noir. Il va chercher sa monture aux écuries et se rend dans la direction du sinistre. C'est une fumée dense qui s'échappe d'un grand bâtiment en bois, et autour duquel s'agitent une multitude de personnes. Il part donc prêter main forte aux villageois, dont il ne tarde pas à s'apercevoir qu'ils sont pour la plupart des résidents du château.
Il se bat contre le feu aux côtés du Seigneur Pêcheur . C'est une grosse partie de la récolte qui est en danger et toutes les mains sont bienvenues pour dompter les flammes.
Aussi, la journée bien avancée et la lutte terminée, le roi invite à nouveau Perceval à passer la nuit. Cette fois, il doit raconter ses exploits répondre aux questions de ses hôtes, et le roi finit par lui présenter sa fille.
C'est à ce moment qu'il se rend compte qu'il n'entend aucun bruit, ni à l'intérieur du château, ni dans la cour. Il quitte ainsi la chambre où épuisé de sa journée de la veille, il s'était endormi en toute quiétude. Dans les couloirs, personne! Juste le bruit du vent amplifié par les meurtrières. L'atmosphère est irréelle et il se demande s'il va une fois de plus, devoir faire face à une épreuve de sa quête. Il déambule jusque dans les cuisines où un fumet odorant l'attire. Mais là encore, personne, même si une soupe est mise à bouillir et du pain frais de trouve sur la table. Il se sert rapidement à manger, inquiet de trouver les lieux désertiques. Il se décide alors à aller à l'extérieur quand bien même il se sait dans l'obligation se saluer ses hôtes avant de quitter les lieux. Dans la cour, tout donne à penser que chacun vient juste de quitter son occupation. Il aperçoit alors, au loin, un nuage noir. Il va chercher sa monture aux écuries et se rend dans la direction du sinistre. C'est une fumée dense qui s'échappe d'un grand bâtiment en bois, et autour duquel s'agitent une multitude de personnes. Il part donc prêter main forte aux villageois, dont il ne tarde pas à s'apercevoir qu'ils sont pour la plupart des résidents du château.
Il se bat contre le feu aux côtés du Seigneur Pêcheur . C'est une grosse partie de la récolte qui est en danger et toutes les mains sont bienvenues pour dompter les flammes.
Aussi, la journée bien avancée et la lutte terminée, le roi invite à nouveau Perceval à passer la nuit. Cette fois, il doit raconter ses exploits répondre aux questions de ses hôtes, et le roi finit par lui présenter sa fille.