Bonjour , je dois aussi faire un commentaire de texte sur un extrait de " la Duchesse de langeais " :Au commencement de la vie éphémère que mena le faubourg Saint-Germain pendant la Restauration, et à laquelle, si les considérations précédentes sont vraies, il ne sut pas donner de consistance, une jeune femme fut passagèrement le type le plus complet de la nature à la fois supérieure et faible, grande et petite, de sa caste. C’était une femme artificiellement instruite, réellement ignorante ; pleine de sentiments élevés, mais manquant d’une pensée qui les coordonnât ; dépensant les plus riches trésors de l’âme à obéir aux convenances ; prête à braver la société, mais hésitant et arrivant à l’artifice par suite de ses scrupules ; ayant plus d’entêtement que de caractère, plus d’engouement que d’enthousiasme, plus de tête que de cœur ; souverainement femme et souverainement coquette, Parisienne surtout ; aimant l’éclat, les fêtes ne réfléchissant pas, ou réfléchissant trop tard ; d’une imprudence qui arrivait presque à de la poésie ; insolente à ravir, mais humble au fond du cœur ; affichant la force comme un roseau bien droit, mais, comme ce roseau, prête à fléchir sous une main puissante ; parlant beaucoup de la religion, mais ne l’aimant pas, et cependant prête à l’accepter comme un dénoûment. Comment expliquer une créature véritablement multiple, susceptible d’héroïsme, et oubliant d’être héroïque pour dire une méchanceté ; jeune et suave, moins vieille de cœur que vieillie par les maximes de ceux qui l’entouraient, et comprenant leur philosophie égoïste sans l’avoir appliquée ; ayant tous les vices du courtisan et toutes les noblesses de la femme adolescente ; se défiant de tout, et néanmoins se laissant parfois aller à tout croire ? Ne serait-ce pas toujours un portrait inachevé que celui de cette femme en qui les teintes les plus chatoyantes se heurtaient, mais en produisant une confusion poétique, parce qu’il y avait une lumière divine, un éclat de jeunesse qui donnait à ces traits confus une sorte d’ensemble ? La grâce lui servait d’unité. 

Alors dans un premier temps Balzac la présente comme une jeune femme insouciante , belle , coquette et instruite .Ensuite , il la décrit comme une personne entêté , ignorante et insolente . Enfin , dans un troisième temps , on peut se demander si elle joue un rôle pour bien paraître dans la société .Voilà ou j'en suis , mais j'ai du mal à organiser les paragraphes et à trouver les bons exemples . 

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ok ben je comprend pas tres bien peut tu en dire plus

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