Merci de corriger les fautes d' orthographes !

Il courrait comme il n'avait jamais couru à fin d'échapper à ses poursuivants. A chaque enjambée , la douleur qui déchirait ses mollets se faisait plus vive . Ses poumons étaient en feu . Sur son passage les promeneurs du samedi s'ecartaient, affolés . Il suffquait. " Ne te retourne pas ! " pensa-t-il , désesperé . Le marchand de fruits gagnait du terrain . Il le sentait . Les immeubles misérables défilaient à toute allure devant lui , brèves taches de couleurs miroitant sur le verre embué de ses lunettes . Il courait toujours. La mâsse verte du parc l'enveloppait peu à peu . Il descendit en bondissant une cascade de marches de pierre. Une terible douleur au côté le força à ralentir . Le sentier se dédoublait : la voie de gauche traversait un tunel creusé dans le rocq qui débouhait sur une large pelouse . Plus loin , ont apercevaient ls eaux lisse du lac de Harlem . La voie de droite plongeait dans la partie sauvage du parc . Les sycomores , les ormes et les peupliers qui se dressaient vers le soleil jetait sur cet endroit une ombre épaisse au dela de cette zone , s'étendait un territoir dangereux

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Il courait comme il n'avait jamais couru à fin d'échapper à ses poursuivants. À chaque enjambée, la douleur qui déchirait ses mollets se faisait plus vive . Ses poumons étaient en feu . Sur son passage les promeneurs du samedi s'écartaient, affolés . Il suffquait. " Ne te retourne pas ! " pensa-t-il, désespéré . Le marchand de fruits gagnait du terrain . Il le sentait . Les immeubles misérables défilaient à toute allure devant lui, brèves taches de couleurs miroitant sur le verre embué de ses lunettes . Il courait toujours. La masse verte du parc l'enveloppait peu à peu . Il descendit en bondissant une cascade de marches de pierre. Une terrible douleur au côté le força à ralentir . Le sentier se dédoublait : la voie de gauche traversait un tunnel creusé dans les rocs qui débouchaient sur une large pelouse . Plus loin , on apercevait les eaux lisses du lac de Harlem . La voie de droite plongeait dans la partie sauvage du parc . Les sycomores, les ormes et les peupliers qui se dressaient vers le soleil jetait sur cet endroit une ombre épaisse au-delà de cette zone, s'étendait un territoire dangereux

Il courrait comme il n'avait jamais couru à fin d'échapper à ses poursuivants. à chaque enjambées , la douleur qui déchirait ses mollets se faissait plus vive . Ses poumons étaient en feu . Sur son passage les promeneurs du samedi s'ecartaient, affolés . Il suffquait. " Ne te retourne pas ! " pensa-t-il , désesperé . Le marchand de fruits gagnait du terrain . Il le sentait . Les immeubles misérables défilaient à toute allure devant lui , brèves taches de couleurs miroitant sur le verre embué de ses lunettes . Il courait toujours. La mâsse verte du parc l'enveloppait peu à peu . Il descendit en bondissant une cascade de marches de pierre. Une terible douleur au côté le força à ralentir . Le sentier se dédoublait : la voie de gauche traversait un tunel creusé dans le rocq qui débouhait sur une large pelouse . Plus loin , ont apercevaient ls eaux lisse du lac de Harlem . La voie de droite plongeait dans la partie sauvage du parc . Les sycomores , les ormes et les peupliers qui se dressaient vers le soleil jetait sur cet endroit une ombre épaisse au dela de cette zone , s'étendait un territoir dangereux

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