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uniquement chaque phrase comportant une faute (les fautes ne concernent
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"Dans cet extrait sonore règne une atmosphère étrange, inquiétante
même, voire oppressante. Étrange d’abord à cause des sonorités choisies.
L’extrait commence par un « bip-bip » strident, semblable à une alarme
électronique : deux notes qui se répètent jusqu’à la fin dans une pulsation
irrégulière. Cette sorte de bourdon est plus ou moins masquée par les
interventions des instruments, des voix et des grincements de porte. On
entend dès le début quelques instruments à vent qui se superposent au bip-bip
pour créer des frottements, des dissonances, quelques notes descendantes
qui semblent esquisser une mélodie (03’’), aussitôt suspendue par une voix
d’homme (07’’). Sans doute, ce mélange d’instruments expressifs, de sons
électroniques et de voix enregistrées participe au sentiment d’oppression qui
nous saisit d’emblée, encore accentué par le peu de variété des nuances, la
faible amplitude de la tessiture. Au fil de l’extrait, on ne sait pas trop si les
instruments luttent contre les voix ou commentent les paroles. Quelques
motifs qui ne consistent qu’en quelques accords, accents ou bribes de
mélodies (de 30’’ à 45’’, à 1’20’’,1’57’’, etc.) saillent du bourdon et alternent
avec les voix, mais cette alternance suggère l’urgence en se resserrant
vers 2’. La parcimonie des moyens musicaux, les répétitions obsédantes, la
régularité carrément implacable de la pulsation, sont les marques d’un courant
esthétique très en vogue dans l’Amérique contemporaine : le dodécaphonisme.

Répondre :

"Dans cet extrait sonore règne une atmosphère étrange, inquiétante même, voire oppressante. Étrange d’abord à cause des sonorités choisies.
L’extrait commence par un « bip-bip » strident, semblable à une alarme électronique : deux notes qui se répètent jusqu’à la fin dans une pulsation irrégulière. Cette sorte de bourdon est plus ou moins masquée par les interventions des instruments, des voix et des grincements de porte. On entend dès le début quelques instruments à vent qui se superposent au bip-bip pour créer des frottements, des dissonances, quelques notes descendantes qui semblent esquisser une mélodie (03’’), aussitôt suspendue par une voix d’homme (07’’). Sans doute, ce mélange d’instruments expressifs, de sons électroniques et de voix enregistrées participe au sentiment d’oppression qui nous saisit d’emblée, encore accentué par le peu de variété des nuances, la faible amplitude de la tessiture. Au fil de l’extrait, on ne sait pas trop si les instruments luttent contre les voix ou commentent les paroles. Quelques motifs qui ne consistent qu’en quelques accords, accents ou bribes de mélodies"

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