Lisez ce texte et relevez toutes les paroles
rapportées au discours indirect
libre.

Hors de lui, Claude traita Jory de crétin: est-ce qu'il
ne valait pas mieux détruire cette œuvre que de la
livrer médiocre ? Oui, c'était dégoûtant ce bas intérêt
de commerce! De leur côté, Sandoz et Mahoudeau
parlaient à la fois, très fort. Des bourgeois, inquiets,
tournaient la tête, finissaient par s'attrouper autour
de ces jeunes gens furieux, qui semblaient vouloir se
mordre. Puis, les passants s'en allèrent, vexés, croyant à
une farce, lorsqu'ils les virent brusquement, très bons
amis, s'émerveiller ensemble, au sujet d'une nourrice
vêtue de clair, avec de longs rubans cerise. Ah! sacré
bon sort, quel ton! c'est ça qui fichait une note! Ravis,
[...], ils suivaient la nourrice [...].

Émile Zola, L'Œuvre, 1886.

Lisez ce texte et relevez toutes les paroles rapportées au discours indirect libre Hors de lui Claude traita Jory de crétin estce quil ne valait pas mieux détru class=

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Réponse :

Hors de lui, Claude traita Jory de crétin: est-ce qu'il

ne valait pas mieux détruire cette œuvre que de la

livrer médiocre ? Oui, c'était dégoûtant ce bas intérêt

de commerce! De leur côté, Sandoz et Mahoudeau

parlaient à la fois, très fort. Des bourgeois, inquiets,

tournaient la tête, finissaient par s'attrouper autour

de ces jeunes gens furieux, qui semblaient vouloir se

mordre. Puis, les passants s'en allèrent, vexés, croyant à

une farce, lorsqu'ils les virent brusquement, très bons

amis, s'émerveiller ensemble, au sujet d'une nourrice

vêtue de clair, avec de longs rubans cerise. Ah! sacré

bon sort, quel ton! c'est ça qui fichait une note! Ravis,

[...], ils suivaient la nourrice [...].

Émile Zola, L'Œuvre, 1886.

Explications :

Je ne suis pas sûre, donc vérifie se que j'ai fais si ce travail est important.

Bonjour;

Hors de lui, Claude traita Jory de crétin: est-ce qu'il

ne valait pas mieux détruire cette œuvre que de la

livrer médiocre ? Oui, c'était dégoûtant ce bas intérêt

de commerce! De leur côté, Sandoz et Mahoudeau

parlaient à la fois, très fort. Des bourgeois, inquiets,

tournaient la tête, finissaient par s'attrouper autour

de ces jeunes gens furieux, qui semblaient vouloir se

mordre. Puis, les passants s'en allèrent, vexés, croyant à

une farce, lorsqu'ils les virent brusquement, très bons

amis, s'émerveiller ensemble, au sujet d'une nourrice

vêtue de clair, avec de longs rubans cerise. Ah! sacré

bon sort, quel ton! c'est ça qui fichait une note! Ravis,

[...], ils suivaient la nourrice [...].

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