Ils allèrent cheminant sur la route la plus directe jusqu'à la chute du jour, et ils
arrivèrent au Pont de l'Épée vers le soir, passé la neuvième heure.
À l'entrée de ce pont, qui était si terrible, ils descendirent de leur cheval et
regardèrent l'eau traîtresse, noire, bruyante, rapide et chargée, si laide et
épouvantable que l'on aurait dit le fleuve du diable; elle était si périlleuse et
profonde que toute créature de ce monde, si elle y était tombée, aurait été aussi
perdue que dans la mer salée.
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Répondre :

Ils cheminent sur la route la plus directe jusqu'à la chute du jour, et ils arrivent au Pont de l'Épée vers le soir, passé la neuvième heure. À l'entrée de ce pont, qui est si terrible, ils descendent de leur cheval et regardent l'eau traîtresse, noire, bruyante, rapide et chargée, si laide et épouvantable que l'on dirait le fleuve du diable; elle est si périlleuse et profonde que toute créature de ce monde, si elle y tombe, est aussi perdue que dans la mer salée.

Réponse :

Ils vont cheminant sur la route la plus directe jusqu'à la chute du jour, et ils arrivent au Pont de l'Épée vers le soir, passé la neuvième heure.

À l'entrée de ce pont, qui est si terrible, ils descendent de leur cheval et

regardent l'eau traîtresse, noire, bruyante, rapide et chargée, si laide et

épouvantable que l'on dirait le fleuve du diable; elle est si périlleuse et profonde que toute créature de ce monde, si elle y est tombée, aura été aussi perdue que dans la mer salée.

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