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Réponse:
Vidé peu à peu de ton sang, de tes forces, de ta raison, tu avanças avec un entêtement de fourmi, revenant sur tes pas pour contourner l'obstacle, te relevant après les chutes [...]. Et, en effet, quand tu glissas, tu dus te redresser vite, afin de ne pas être changé en pierre. Le froid te pétrifiait de seconde en seconde, et, pour avoir goûté, après la chute, une minute de repos de trop, tu dus faire jouer, pour te relever, des muscles morts. Tu résistas aux tentations.
Voila :)