4. Récrivez ce poème de Victor Hugo extrait de «Les Contemplations» (1856) en respectant les
retours à la ligne en fonction des pieds et des rimes.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai. Vois-tu, je sais que tu
m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus long-
temps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au
dehors, sans entendre
aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
triste, et le jour pour moi sera
comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe
, ni les voiles au loin descendant vers
Harfleur, et quand j'arriverai, je mettrai
sur ta tombe un bouquet de houx vert et de bruyère
en fleur.
récrivez ce poème de victor hugo en respectant les retours à la ligne en fonction des pieds et des rimes

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Explications :

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.

J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

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