Bonjour est ce que vous pouvez écrire ( inventer / reprendre ) une journée très douloureuse d'un français pris en otage qui n'est pas très longue, dans cette histoire purement racontée comme si c'étais la personne qui parlait/témoignait, je veux que il y ait tout sortes d'émotions et des instants choquants qui attirent l'attention, je voudrais que vous commencez ( premiers mots ) avec des insultes très fortes et langage très vulgaire que les kidnappeurs utilisent qui réduisent l'être humain en un simple monnaie d'échange aussi. donc ça doit commencer par ... , ... , ... , ... , on m'a aussi appelé ... , ... ( trois points pour les insultes fortes, c'est le kidnappé qui raconte ) mais la reformulation de ce qu'il dit est possible tant qu'ils commencent par les INSULTES. Avec tout cela je veux que quand je ferais ma plaidoirie, les spectateurs pensent au départ que je parle de moi ( ma journée ) car je parlerai a la première personne (Je) et je parlerai a la place du kidnappé, SANS bien sur mentionner un conflit précis.

JE VEUX QUE CA SOIT EXACTEMENT PAREIL QUE LA VIDEO QUE VOUS TROUVEZ SUR YOUTUBE AVEC LE NOM, PLAIDOIRIE DE CECIL BERTIL LA CULTURE DU VIOL PLAIDOIRIE MAIS LE SUJET DEVIENT LA PRISE D'OTAGE, et si vous arrivez à imaginer la journée de la même manière que la video alors vous n'avez pas besoin de lire la suite.

vous racontez seulement ce qui se passe dans cette journée au présent et pas au passé et vous ne parlez pas d'autres personnes comme l'exemple 1 que je vous donne mais racontez seulement comme l'exemple 2 , vous pouvez vous inspirer sur ce que je vous donne ici :

Plaidoirie : Contre la Prise d'Otages dans le Monde

exemple 1: Je me tiens ici, non pas en tant que simple orateur, mais en tant que voix pour les innombrables âmes réduites au silence par la terreur et la cruauté. Imaginez-vous une journée comme les autres, baignée de lumière et d'espoir, jusqu'à ce qu'une ombre sombre vienne tout détruire. C'est ainsi que commence l'histoire de tant de personnes prises en otage, arrachées à leur vie quotidienne par la violence aveugle et impitoyable.

Des hommes armés, dépourvus de toute humanité, sèment le chaos et la désolation où qu'ils aillent. Leurs actes ne sont pas seulement des attaques contre des individus, mais des affronts à la dignité humaine elle-même. Ils réduisent des vies à de simples pions dans un jeu macabre de pouvoir et de manipulation.


exemple 2: Je me tiens ici, les yeux embués de larmes, le cœur alourdi par le poids des souvenirs. Il était une fois, une matinée paisible et sereine, ou le soleil se levait doucement, répandant sa lumière apaisante sur le monde endormi.

Mais soudain, une ombre menaçante a assombri le ciel, troublant la quiétude qui régnait en nos cœurs. Au fil des heures, une présence oppressante s'est installée, plongeant nos vies dans une angoisse grandissante. Et tout à coup, Soudain, une sombre présence s'est matérialisée, semant la peur et la panique. C'est une invasion. Des hommes armés sont arrivés, leurs visages dissimulés derrière des masques de cruauté et de malveillance. Ils ont pris nana, arrachant tout ce qui nous était cher avec une brutalité impitoyable. Ils ont volé nos biens les plus précieux, laissant derrière eux un sillage de destruction et de désespoir.

Nous étions des témoins impuissants de leur fureur destructrice, des otages de la terreur qui régnait en maître. et là, Je me suis senti seul, dans ce monde en détresse, Mon esprit tourmenté, par la peur qui me blesse.

Soudain, un clown apparaît, dans son costume en liesse, Et là, une question m'obsède sans cesse, Dans cette tourmente qui m'oppresse, vais-je mourir, sans adresse ??????

Merci d'avance.

Répondre :

Réponse:

"Fils de p***, enc***, déchet!" Voilà comment ça a commencé, juste après qu'ils m'ont jeté à terre, pieds et poings liés. On m'a aussi appelé "monnaie d'échange", "sac de viande". Ces mots, plus tranchants que les lames qu'ils brandissaient, me réduisaient à un simple objet, un pion dans leur jeu cruel.

Je me tiens ici, les jambes tremblantes, le souffle court. Le soleil se levait, promettant une journée de paix, jusqu'à ce que cette paix soit brisée par des cris, des coups de feu. Ils sont entrés, masques noirs, yeux froids, sans une once d'humanité. Leurs armes pointées, non pas vers ce que j'avais, mais vers ce que j'étais. Mon identité arrachée en quelques secondes, réduite à un outil dans leurs mains sans pitié.

La peur me déchire, chaque seconde s'étire en une éternité d'angoisse. Mes pensées se bousculent, priant pour une issue, tandis que mes yeux cherchent désespérément un signe de compassion dans leurs regards de pierre. Mais il n'y a rien. Seulement le froid métallique des canons et la chaleur suffocante de ma propre terreur.

Puis, un coup sec, une douleur fulgurante. "Bouge pas, sinon t'es mort!" L'un d'eux crache ces mots avec un mépris glaçant, tandis qu'un autre fouille mes poches, arrachant tout ce qu'il trouve. Ma montre, mon téléphone, les photos de mes enfants... Tout disparaît dans leurs mains avides.

Ils discutent entre eux, évoquant des sommes d'argent, des transactions. Je ne suis plus un être humain; je suis devenu un chiffre, un potentiel bénéfice dans leur commerce morbide. L'un d'eux rit, un son qui érode un peu plus mon dernier rempart de dignité. Ils m'ignorent ensuite, me laissant gisant, les yeux fixés sur un ciel qui me semble désormais étranger.

Je suis là, impuissant, écoutant le tic-tac de ma montre qu'ils n'ont pas trouvée, cachée dans ma chaussure. Chaque tic-tac est un cri silencieux, un appel à l'aide que personne ne peut entendre. Dans cette épreuve, chaque seconde me rappelle que je suis seul, isolé du monde, une âme oubliée dans le néant de leur cruauté.

Soudain, ils reviennent, me tirant par les cheveux, me forçant à regarder dans leurs yeux sans âme. "Ta vie contre leur argent. Compris?" L'un d'eux serre ma gorge, sa poigne affirmant que ma vie tient à un fil, un fil qu'ils sont prêts à couper sans hésitation.

Alors que je me tiens ici, devant vous, je ne vous demande pas de ressentir ma douleur, mais de comprendre l'urgence de combattre cette horreur. Car ce n'est pas seulement ma voix que vous entendez, mais l'écho de milliers de voix, réduites au silence par la terreur. Chaque mot que je prononce est un appel à l'action, une plaidoirie pour ceux qui sont encore captifs, attendant que le monde reconnaisse et réponde à leur souffrance.

D'autres questions