A faire sur feuille : le sujet d'imagination page 133 de
votre manuel - 30 lignes. Imaginez-vous posté /
postée à un étage supérieur en vous inspirant du
poème de Baudelaire, décrivez ce que vous voyez en
contrebas. Vous pouvez être à l'étage d'une maison
avec vue sur la campagne, la ville, le bord de mer...
Vous pouvez aussi être en haut d'un monument.
Vous ne rédigez pas un poème, mais comme
Baudelaire, vous proposez une description organisée
et avez recours à des procédés littéraires :
métaphore, comparaison, personnification,
allitération/ assonance (même dans un texte en
prose), hyperbole... Description oblige, vous penserez
aux expansions du nom.

A faire sur feuille le sujet dimagination page 133 de votre manuel 30 lignes Imaginezvous posté postée à un étage supérieur en vous inspirant du poème de Baudel class=

Répondre :

voici une description détaillée en 30 lignes en m'inspirant des consignes fournies : (pardon du retard)

Perché(e) au sommet de cette tour majestueuse, je contemple le paysage qui se déploie sous mes yeux. Les toits de tuiles rouges de la vieille ville s'étirent à mes pieds, tels un océan de briques écarlates ondulant doucement. Au-delà, la campagne s'étend à perte de vue, un tapis verdoyant bariolé de champs et de bosquets. Ici et là, des clochers d'églises percent la mer de verdure, comme autant d'îles pittoresques.

Dans le lointain, la ligne sombre et sinueuse de la forêt dessine l'horizon, telle une barrière infranchissable protégeant cet havre de paix. Le ruban argenté d'une rivière serpente à travers la plaine, miroitant sous les rayons du soleil comme une lame étincelante. Des hameaux épars parsèment le paysage, leurs maisons blanches et leurs toits de chaume évoquant une quiétude champêtre.

Un vol de pigeons tournoie avec grâce au-dessus des toits, leur blancheur immaculée contrastant avec l'azur du ciel. Leur envol semble défier la pesanteur, une danse aérienne d'une légèreté fascinante. Un clocher lointain sonne l'angélus, sa mélodie cristalline s'élevant pour se perdre dans les airs.

Saisi(e) par la beauté de ce panorama, je me laisse submerger par une vague d'émotions. Cet instant de contemplation hors du temps m'apparaît comme une fenêtre ouverte sur l'essence même de la vie, un répit salvateur dans le tumulte du monde. Je me sens à la fois infiniment petit(e) et infiniment grand(e), à l'unisson avec la grandeur de la nature qui m'entoure.

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