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Bonjour,

I) 1) a) On peut remarquer que le poète n'a pas suivi de forme particulière pour la longueur des vers ou pour les rimes.

b) Ce type de poème s'appelle un poème en vers libre (le vers libre n'obéit ni à une forme de régularité, ni à un système de rimes)

c) Le vers 2 est composé de 12 syllabes (un alexandrin) et le vers 10 est composé de 8 syllabes (un octosyllabe).

d) La période historique évoquée dans ce poème est la seconde guerre mondiale (la date étant la première indication). À ce moment là, une partie de la France est prise par les Allemands, ce texte fait alors appel aux résistants.

2) a) Le peuple français fait face à la famine, au manque de nourriture, à la pauvreté...

b) Ces mots appartiennent au champ lexical de la misère.

c) Dans les vers 1 à 4, la première figure de style est une anaphore (le fait de répéter le nom "Paris" au début de chaque vers).

Cela produit un effet d'insistance sur le lieu où nous sommes, on implante en quelque sorte en décor au début de ce poème.

La seconde est une personnification (le fait de remplacer le peuple français par le nom "Paris" qui est une ville et non une personne).

La personnification permet de rapprocher les lecteurs du texte de façon plus concrète.

d) Vers 1 : allitération en f

Vers 2 : allitération en m

Vers 3 : allitération en v

Vers 4 : allitération en d

(Une allitération est une figure de style qui est une répétition d'une même consonne dans un vers ou une strophe)

3) a) Paul Eluard s'adresse ici au peuple français, il utilise la personnification avec la ville de Paris pour le faire.

b) Une aiguille fine et petite est comparée à une épée large et plus grande.

ingénue (innocence, naïveté) opposé à savante

comparaison : tremblant comme une étoile

Le poète donne une image incertaine de Paris : à la fois tout et en même temps rien.

c) À partir du vers 25 le poète s'adresse au peuple français. Le champ lexical de la guerre (le sang, la mort, ennemis, la force...) apparait, on peut citer "pas casqués, ni bottés, ni gantés".

d) Ce poème est un appel au peuple français. Le poète ne compte plus seulement sur l'armée pour libérer la France mais sur le plus de monde possible. Chacun à sa manière, lui le fait par la force des mots.

e) La force idiote désigne les soldats ennemis.

II) 1)

2) dans : préposition

malheureux : adjectif

notre : déterminant possessif

debout : adverbe

3) vieux : complément du nom

de Paris : COI (complément d'objet indirect)

te :

humain :

dans la rue : complément circonstanciel de lieu  

4) "injuste" est formé sur la base du mot juste avec un préfixe "in".

Deux mots de la même famille peuvent être : injustice, justice, justement, injustement.

5)

6) Vis d'une vie sans égale.

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