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Dans le roman "Bel-Ami" de Guy de Maupassant, Georges Duroy (Bel-Ami) est victime d'une opération boursière orchestrée par son supérieur et mentor, Walter. Walter est le directeur du journal "La Vie Française" et il utilise des informations privilégiées pour manipuler le marché boursier.
L'opération boursière en question concerne les actions de la compagnie du canal du Maroc. Walter encourage Georges Duroy et d'autres collègues à acheter des actions de cette compagnie en leur faisant croire que la valeur des actions va augmenter de manière significative. Cependant, Walter et ses associés ont planifié de vendre leurs propres actions au moment où le prix atteint son apogée, avant que la valeur des actions ne s'effondre.
Georges Duroy, qui suit les conseils de Walter, investit une somme importante dans ces actions. Lorsque le krach boursier survient et que la valeur des actions chute drastiquement, Duroy se retrouve ruiné, trahi par ceux en qui il avait confiance. Cette expérience amère de la trahison et de la manipulation dans le monde de la finance est un moment clé dans le développement de son personnage, le poussant à devenir plus cynique et calculateur dans ses propres ambitions.
L'opération boursière en question concerne les actions de la compagnie du canal du Maroc. Walter encourage Georges Duroy et d'autres collègues à acheter des actions de cette compagnie en leur faisant croire que la valeur des actions va augmenter de manière significative. Cependant, Walter et ses associés ont planifié de vendre leurs propres actions au moment où le prix atteint son apogée, avant que la valeur des actions ne s'effondre.
Georges Duroy, qui suit les conseils de Walter, investit une somme importante dans ces actions. Lorsque le krach boursier survient et que la valeur des actions chute drastiquement, Duroy se retrouve ruiné, trahi par ceux en qui il avait confiance. Cette expérience amère de la trahison et de la manipulation dans le monde de la finance est un moment clé dans le développement de son personnage, le poussant à devenir plus cynique et calculateur dans ses propres ambitions.