Répondre :

Bonsoir,

Réponse :

COLIN, à la fenêtre.- Monsieur

GEORGE DANDIN.- Allons vite, ici-bas.

COLIN, en sautant par la fenêtre.- M’y voilà ! On ne peut pas plus vite.

GEORGE DANDIN.- Tu es là ?

COLIN.- Oui, Monsieur.

(Pendant qu’il va lui parler d’un côté, Colin va de l’autre.)

GEORGE DANDIN.- Doucement. Parle bas. Ecoute. Va- t’en chez mon beau-père et ma belle mère, et dis que je les prie très instamment de venir tout à l’heure ici. Entends-tu ? Eh ? Colin ? Colin ?

COLIN, de l’autre côté.- Monsieur.

GEORGE DANDIN.- Où diable es-tu ?

COLIN.- Ici.

(Comme ils se vont tous deux chercher, l’un passe d’un côté, et l’autre de l’autre).

GEORGE DANDIN.- Peste soit du maroufle qui s’éloigne de moi !

bonjour,

                         Colin, George Dandin.

                       COLIN, à la fenêtre.

- Monsieur.

                 GEORGE DANDIN.

- Allons vite, ici-bas.

                   COLIN, en sautant par la fenêtre.

- M'y voilà ! On ne peut pas plus vite.

              GEORGE DANDIN.

-Tu es là ?

                       COLIN.

-Oui, Monsieur.

Pendant qu'il va lui parler d'un côté, Colin va de l'autre.

                        GEORGE DANDIN.

- Doucement. Parle bas. Écoute. Va-t'en chez mon beau-père, et ma belle-mère, et dis que je les prie très instamment de venir tout à l'heure ici. Entends-tu ? Eh ? Colin, Colin.

                   COLIN, de l'autre côté.

- Monsieur.

                      GEORGE DANDIN.

-Où diable es-tu ?

                          COLIN.

- Ici.

                       GEORGE DANDIN.

Comme ils se vont tous deux chercher, l'un passe d'un côté, et l'autre de l'autre.

-Peste soit du maroufle qui s'éloigne de moi.

D'autres questions