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1) Mes premières impressions à la lecture de ce poème sont celles d'une atmosphère sombre et angoissante, évoquée par la description des horloges comme des êtres vivants qui se déplacent, regardent et parlent. Par exemple, on peut lire "Les horloges, avec leurs pas", "Les horloges, avec leurs yeux" ou encore "Les horloges, avec leurs voix", ce qui donne une impression de vie et de mouvement à ces objets inanimés.
2) Le poème ne montre pas les horloges comme de simples objets, mais leur attribue des caractéristiques humaines, les décrivant comme des êtres vivants qui marchent, regardent et parlent. Cette personnification des horloges les rend plus inquiétantes et mystérieuses, renforçant ainsi le sentiment d'angoisse du poème.
3) Les figures de style qui dominent dans ce texte sont la personnification, l'anaphore et la métaphore. Par exemple, la personnification est présente dans les expressions telles que "Les horloges, avec leurs pas", qui attribue des caractéristiques humaines aux horloges. L'anaphore est également utilisée avec la répétition du mot "horloges" au début de chaque strophe. Enfin, la métaphore est présente dans des expressions comme "Les horloges, avec leurs yeux", où les horloges sont comparées à des êtres vivants dotés de regards.
2) Le poème ne montre pas les horloges comme de simples objets, mais leur attribue des caractéristiques humaines, les décrivant comme des êtres vivants qui marchent, regardent et parlent. Cette personnification des horloges les rend plus inquiétantes et mystérieuses, renforçant ainsi le sentiment d'angoisse du poème.
3) Les figures de style qui dominent dans ce texte sont la personnification, l'anaphore et la métaphore. Par exemple, la personnification est présente dans les expressions telles que "Les horloges, avec leurs pas", qui attribue des caractéristiques humaines aux horloges. L'anaphore est également utilisée avec la répétition du mot "horloges" au début de chaque strophe. Enfin, la métaphore est présente dans des expressions comme "Les horloges, avec leurs yeux", où les horloges sont comparées à des êtres vivants dotés de regards.