Mon devoir de francais etait d'ecrire un interview entre un journal et Jean Molla 'auteur du livre sobibor, pouvez vous me dire se que vous en penser,se qu'il faut modifier,quel sont les bons et les mauvais ponts...

 

 

Interview avec le journal Le monde et Jean Molla :

 

 

Le monde: Pour qu’elles raisons  avez-vous fait un livre sur Sobibor ?

Jean Molla : J’ai choisi d’écrire ce livre car il est au cœur de mes préoccupations. Il s’est nourrit de mes pensées et  de mes lectures : Primo Levi, Hannah Arendt, Léon Poliakov, et tant d’autres…

Le monde : Ce livre est-il destiner à la jeunesse ou aux adultes ?

Jean Molla : c’est un roman destiné à un public jeune mais il  peut également être lu par des adultes car certains passages du livre sont assez dur comme l’extermination des juifs, et les différentes méthodes utilises pour celle-ci, qui racontée par jacques Desroche dans son journal intime.

Le monde : Ce journal intime occupe une grande place dans le livre, pourquoi ?

Jean Molla : Tout d’abord parce qu’il permet au lecteur de se mettre à la place de Jaques, celui-ci racontes ses journées, et ses émotions, ce qui permet au lecteur de mieux comprendre ce qui se passe à ce moment de l’histoire et l’ampleur de la Seconde Guerre Mondiale. Cela permet aussi de rendre les faits plus réels.

Le monde : Pourquoi avoir fait un livre regroupant l’anorexie et les camps de concentration ?

Jean Molla : les différents thèmes de l’histoire sont voués à former un récit à la fois prenant et bouleversant. Emma est une jeune adolescente  anorexique, quand le lecteur lit le livre, il peut être mal alaise face à la faiblesse et la maladie d’Emma. Trop de jeunes filles se trouvent « trop rondes » comme le pense celle-ci et deviennent anorexique pour ressembler aux mannequins dont qui sont leurs idoles.

Le monde: Quel est le but du roman ?

Jean Molla : Le but du roman est de faire passer un message, d’accorder aux lecteurs une véritable leçon de vie sur la réalité d’un monde qu’ils négligent parfois. D’une part sur le devoir de mémoire, pour ne pas oublier que de nombreux juifs sont morts, pour que ce soit la race Aryenne qui domine. D’autre part sur les ravages de la maladie, pour comprendre que des jeunes s’engagent parfois dans un processus irréversible mettant en péril le fil de leur vie pour le seul prétexte que l’on se sent parfois différent physiquement des autres.

 

 

Répondre :

évite les mots car  sa fait une phrase lourde autrement c bien

J'aurai plutot dit "quelles sont les raisons qui vous ont poussé à écrire un livre sur Sobidor"

sinon c'est bien 

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