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Bonjour,
Soulignez dans le texte:
a. les verbes d'action en bleu: Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l'église, a Faverolles, se dispose à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la devanture grillée et vitrée de sa boutique. Il arriva à temps pour voir un bras passé à travers un trou fait d'un coup de poing dans la grille dans la vitre. Le bras saisit un pain et l'emporta. Isabeau sortit en hâte; le voleur s'enfuyait à toutes jambes; Isabeau courut après lui et l'arrêta. Le voleur avait jeté le pain, mais il avait encore le bras ensanglanté. C'était Jean Valjean.
b. les compléments circonstanciels en vert: Un dimanche soir, Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l'église, a Faverolles, se dispose à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la devanture grillée et vitrée de sa boutique. Il arriva à temps pour voir un bras passé à travers un trou fait d'un coup de poing dans la grille dans la vitre. Le bras saisit un pain et l'emporta. Isabeau sortit en hâte; le voleur s'enfuyait à toutes jambes; Isabeau courut après lui et l'arrêta. Le voleur avait jeté le pain, mais il avait encore le bras ensanglanté. C'était Jean Valjean.
Victor Hugo a voulu donner à son récit un rythme rapide et haletant. On peut le voir à travers l'utilisation de verbes d'action dynamiques, de compléments circonstanciels qui ajoutent de la vivacité au récit, et des phrases courtes qui contribuent à créer un sentiment de tension et d'urgence.
J’espère que ça va vous aidez
Soulignez dans le texte:
a. les verbes d'action en bleu: Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l'église, a Faverolles, se dispose à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la devanture grillée et vitrée de sa boutique. Il arriva à temps pour voir un bras passé à travers un trou fait d'un coup de poing dans la grille dans la vitre. Le bras saisit un pain et l'emporta. Isabeau sortit en hâte; le voleur s'enfuyait à toutes jambes; Isabeau courut après lui et l'arrêta. Le voleur avait jeté le pain, mais il avait encore le bras ensanglanté. C'était Jean Valjean.
b. les compléments circonstanciels en vert: Un dimanche soir, Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l'église, a Faverolles, se dispose à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la devanture grillée et vitrée de sa boutique. Il arriva à temps pour voir un bras passé à travers un trou fait d'un coup de poing dans la grille dans la vitre. Le bras saisit un pain et l'emporta. Isabeau sortit en hâte; le voleur s'enfuyait à toutes jambes; Isabeau courut après lui et l'arrêta. Le voleur avait jeté le pain, mais il avait encore le bras ensanglanté. C'était Jean Valjean.
Victor Hugo a voulu donner à son récit un rythme rapide et haletant. On peut le voir à travers l'utilisation de verbes d'action dynamiques, de compléments circonstanciels qui ajoutent de la vivacité au récit, et des phrases courtes qui contribuent à créer un sentiment de tension et d'urgence.
J’espère que ça va vous aidez